On a commencé à parler de « mobilité douce » avant d’évoquer la « mobilité durable ». L’enjeu était tout d’abord de réduire la pollution de l’air, les nuisances sonores, et les embouteillages (entres autres).
Ce type de mobilité englobe :
Quasiment similaires à la mobilité douce, ces termes synonymes renvoient eux aussi à l’utilisation de moyens de déplacement plus respectueux du cadre urbain, mais cette fois-ci on y ajoute l’enjeu écologique : la réduction des émissions de gaz à effet de serre afin de limiter l’impact sur l’environnement.
Ces termes englobent là aussi à la fois des moyens de transports motorisés ou non motorisés et on peut donc leur reprocher d’être un peu « fourre-tout ». L’objectif principal est d’exclure l’« autosolisme », c’est-à-dire l’usage « solo » d’un véhicule personnel motorisé, et donc de regrouper tous les autres modes de déplacement :
Terme plus rare, il désigne plutôt une volonté de penser la mobilité de façon positive, c’est-à-dire d’envisager la mobilité comme durable, pratique mais aussi agréable. Pour cela, il est nécessaire de faire appel à l’art, la culture, la sensibilisation, les moments de convivialité (entres autres).
Le but est de faire évoluer les comportements, en évitant d’utiliser uniquement des mesures contraignantes qui risquent de ne pas faire changer les mentalités et les habitudes en profondeur. Enfin, la mobilité positive inclut aussi un aspect social, avec un accent mis sur l’importance d’agir pour plus d’inclusion et de soutenir le droit à la mobilité pour les publics les plus éloignés, non-valides et/ou précaires.
Sources